Les aventure de Pmoc et Quetzalcoatl
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(1) Rien de particulier à rajouter
(2) Le Lysanxia® est du prazépam, le Témesta® de l'oxazépam. Ce sont tous deux des benzodiazépines, pas du tout à base de plantes, soumis à prescription par un médecin. D'autre part, si le patient ne supporte pas son traitement, il aurait été plus judicieux de se demander si le problème ne viendrait pas de la classe pharmacologique et de son mécanisme d'action.
(3) La description correspond à un pneumothorax, une affection dans laquelle la plèvre, une fine membrane qui entoure les poumons, se retrouve en contact avec l'air, provoquant un accolement du fin interstice entre la plèvre et le poumon, l'espace pleural. Cela peut provoquer un affaissement des poumons pouvant provoquer une détresse respiratoire, d'où une possible hypoxie cérébrale.
(4) La mémoire de l'eau est un concept de l'homéopathie qui dit que même si on ne retrouve plus de trace de la matière première diluée, l'eau dans laquelle la dilution a eu lieu conserve les propriétés de la matière première. Outre l'absurdité du concept, jamais sérieusement prouvé, dans la mesure où il n'y a plus d'eau dans les granulés homéopathiques, il est d'autant plus saugrenu que d'expliquer les effets des homéopathies par cette théorie. Et d'autre part, même si la théorie était avérée, la faible énergie d'un rayonnement infra-rouge représente une énergie bien moindre par rapport aux radiations auxquelles on est constamment exposés naturellement (rayons du soleil, lampes, radiation par désintégration spontané d'éléments radioactifs dans les roches etc...).